Malandrinha
Martinho da Vila
Malandrinha
La Lune se lève d'argent
Au sommet de la montagne verdoyante
La lyre du chanteur en sérénade
Appelle de la fenêtre sa bien-aimée
Au son de la mélodie passionnée
Des cordes de la guitare résonnante
Le troubadour confesse à sa dulcinée
Ce que lui dicte son cœur envoûtant
Oh ! Belle image de femme qui me séduit
Ah ! Si je pouvais, tu serais sur un autel
Tu es la reine de mes rêves, tu es la lumière
Tu es malandrinha, tu n'as pas besoin de travailler
Réveille-toi, ma belle fiancée
La Lune nous invite à nous promener
Ses rayons illuminent tout le chemin
Par où nous allons passer
La rue est déserte, oh ! Viens, ma chérie
Écouter tout près de moi, le son du pin
Et quand l'aube, déjà apparue
Les pigeons retourneront à leurs nids
Oh ! Belle image de femme qui me séduit
Ah ! Si je pouvais, tu serais sur un autel
Tu es la reine de mes rêves, tu es la lumière
Tu es malandrinha, tu n'as pas besoin de travailler