Dejé de Amar (part. Don Felipe Muñiz)

Oui, c'est sûr que je ne pense plus comme avant à toi
Car ma vie est pleine de détails et de mille choses
Qui m'obligent à t'oublier sans savoir
Que c'était toi, cette femme que j'aimais
Ah ! Mais aujourd'hui, tu es apparue sur un chemin
Que mon esprit a trouvé

En me remémorant des souvenirs, qui m'ont poussé à l'amour
Et je découvre parmi les choses que tu n'es plus
Cette femme que j'aimais
Et je découvre avec tristesse, que ma pensée a changé
Et que je suis un homme seul, qui vit juste pour vivre
Qui ne trouve plus de plaisir, ni dans la caresse, ni dans le baiser
Parce que j'ai cessé d'aimer

J'ai cessé d'être, ce poète amoureux
Qui a rempli la vie de poésies et de mille vers
Ce romantique sincère, qui un jour par amour
A dit : Femme, je t'aime, a dit : Femme, je t'aime
Oui, le temps passe lentement et sans pitié
Emportant les souvenirs, il n'y a plus tant à donner

Et je découvre à nouveau que ma vie n'est plus la même
Car j'ai cessé d'aimer
Je découvre avec tristesse, que ma pensée a changé
Et que je suis un homme seul, qui vit juste pour vivre
Qui ne trouve plus de plaisir, ni dans la caresse, ni dans le baiser
Parce que j'ai cessé d'aimer

J'ai cessé d'être, ce poète amoureux
Qui a rempli la vie de poésies et de mille vers
Ce romantique sincère, qui un jour par amour
A dit : Femme, je t'aime, a dit : Femme, je t'aime
A dit : Femme, je t'aime
A dit : Femme, je t'aime