La Diosa Y El Pecador
Luis Silva
La Déesse et le Pécheur
Une déesse est descendue du ciel un jour
Pour voir comment vit un pécheur
Je l'ai vue descendre lentement d'une étoile
Et son regard lumineux m'a observé
J'ai pris sa main et nous avons parcouru le monde
Et en voyant la mer, elle a confondu le ciel
J'ai coupé une rose et l'ai mise dans ses cheveux
Et nous avons chanté une chanson à deux
Qui disait : Que le monde est beau
Que l'amour est beau
Que les roses sont belles
Que grand est le seigneur
Que le monde est beau
Que l'amour est beau
Que les roses sont belles
Que grand est le seigneur
Regarde les matins, les couchers de soleil et les crépuscules
Quels beaux paysages de belles couleurs autour de toi
Et les sources qui, dans les nuits claires, servent de miroirs
Aux petites étoiles qui, curieuses, regardent leur propre éclat
Regarde les matins, les couchers de soleil et les crépuscules
Quels beaux paysages de belles couleurs autour de toi
Et les sources qui, dans les nuits claires, servent de miroirs
Aux petites étoiles qui, curieuses, regardent leur propre éclat
Elle s'était échappée du royaume de la pureté
Elle ne connaissait pas encore ce qu'était l'amour
Ému, je l'ai prise dans mes bras
Et j'ai déposé un baiser sur ses lèvres avec passion
Ma belle déesse et moi, ce jour-là, nous nous sommes aimés
Et du ciel, un arc-en-ciel est descendu
Il portait un message du créateur qui nous disait
Si vous êtes heureux, recevez ma bénédiction
Et il disait : Que le monde est beau
Que l'amour est beau
Que les roses sont belles
Que grand est le seigneur
Que le monde est beau
Que l'amour est beau
Que les roses sont belles
Que grand est le seigneur
Regarde les matins, les couchers de soleil et les crépuscules
Quels beaux paysages de belles couleurs autour de toi
Et les sources qui, dans les nuits claires, servent de miroirs
Aux petites étoiles qui, curieuses, regardent leur propre éclat
Regarde les matins, les couchers de soleil et les crépuscules
Quels beaux paysages de belles couleurs autour de toi
Et les sources qui, dans les nuits claires, servent de miroirs
Aux petites étoiles qui, curieuses, regardent leur propre éclat