Veinte Ciudades
Luis Alberto Spinetta
Vingt Villes
Avec tes propres yeux, tu vois ce qui est perdu
Et t'en as marre d'attendre
Un temps qui t'emmènera te balader
Avec tes propres yeux, tu vois
Comme tu es belle
Et aujourd'hui, une raison de pleurer
Rassure-toi : l'amour ne te manquera jamais (non, non, non)
Aujourd'hui, ton amour a enfin visité
Vingt villes et rien n'est réglé
Je veux te rappeler et que le temps
Ne joue jamais à les retrouver
Il ne reste que des cendres de l'aube que tu dois briser
Peut-être que toi seule as la vérité
Et que personne ne te fera changer
T'inquiète : je ne t'emmènerai pas au soleil (non)
Parce que ça brûle, ça brûle juste, ouais
L'espoir de ton amour
Demain, ne me dis pas que je ne t'ai pas prévenue (non, non, non, non)
Et aujourd'hui, la chance se moque de moi
Je peux être bon sans être un robot
Quelqu'un juste pour tondre l'herbe sèche
Écoute : il n'y a plus rien que tu puisses faire pour ton cœur
Avec tes propres yeux, tu vois
Comme tu es belle
Et aujourd'hui, une raison de pleurer
T'inquiète : je ne t'emmènerai pas vers le soleil (non)
Parce que ça brûle juste ; ça brûle juste, ouais
L'espoir de ton amour
Demain, ne me dis pas que je ne t'ai pas prévenue (non, non, non, non)
Aujourd'hui, ton amour a enfin visité
Vingt villes et rien n'est réglé
Tu dois comprendre que le monde ne joue jamais de la même manière (non, non, non)
Il ne reste que des cendres de l'âme que tu dois briser