La Champions y El Mundial (part. Leiva)

Jamais c'est le bon moment pour avoir des gosses, non
Et jamais c'est le moment de dire au patron : Lâche le chèque de départ
C'est toujours un bon après-midi pour s'aimer soi-même avec tendresse
Et jamais tu ne vois l'heure de laisser le vice, de laisser le vice

Les larmes de crocodile sont
Les eaux de ce Nil
Qui emportent des salauds avec eux
Je crois que je peux annoncer que je vais enfin faire ce changement

Maintenant oui, je jure que maintenant oui
Ce sera mon année, tu verras
Maintenant oui, je jure que maintenant oui
Je gagne la Champions et le Mondial

Si en fin d'après-midi je me sens ennuyé
J'assiste à des funérailles d'inconnus
De cette manière vile en parlant du métier
Je me rends compte que je suis toujours en vie, que je suis toujours en vie

Quelqu'un de la salle de sport m'a appelé
Demandant pourquoi je continue à payer
Uh, la vérité c'est que, aucune idée
Je vais y réfléchir

Et maintenant oui, je jure que maintenant oui
Ce sera mon année, tu verras
Maintenant oui, je jure que maintenant oui
Je gagne la Champions et le Mondial

Chaque année qui passe je me dis la même chose
Chaque année qui passe je me dis la même chose
Para-pam-pam, para-pam, para-pam-pam
Para-param, pam-pam-pam-pam, pam-pam-pam
Aujourd'hui je m'en fous si mon équipe gagne ou si elle en prend sept
Quand je me suis couché, ce n'était plus dimanche, non
En marchant dans la rue, je me suis pris un bon coup et mes culottes se sont vues
Uh, que je t'avais volé pendant que tu te douchais

Et maintenant oui, je jure que maintenant oui
Ce sera mon année, tu verras
Et maintenant oui, je jure que maintenant oui, oui
Je gagne la Champions et le Mondial

Adieu à ce demi-looser, à cette calamité
Adieu à ce demi-looser, à cette calamité