los pasajes del phoenix
Los Nuevos Rebeldes
Les passages du phoenix
Toujours habillé en noir
Barbe longue et une dent qui pendait de son cou
Il y a plusieurs souvenirs de l'époque où le vieux était vivant
Se baladant dans le salé
Dans la charrette, ça causait bien
Allumant un coq, il était tout souriant
Zéro un, des couilles en or
Des calacas résignées ornaient bien son surnom
Un petit cor de disque et un avec des couilles de taureau
Décidé à me livrer
Et en descendant, ils m'ont répondu avec des plombs
La chienne était en colère et elle y allait à fond
Enfant, le bon et le mauvais
Deux petits diables qui dans la peni l'ont frotté et marqué
Le rouge était le bon et le diable noir était le mauvais
Des bagues en forme de crâne
Dans ses mains et le Bin Laden en portrait
Un look de taliban qui faisait de l'effet
Monsieur Vicente Zambada
Je l'attendais, je suis parti avant avec ma barbe et ma bande
Compadre, reste solide, il a toujours été un homme de valeur
Comme je remercie Javi
Il a été mon ombre, et à mon compadre Barraza
Toujours là dans les bons et les mauvais moments
Mille choses le passionnaient
Mais ce qu'il aimait le plus, sa famille était sacrée
Il a laissé mes princesses et ma petite Renata
Avec mon petit frijolito
Ici dans le ciel, je vais toujours les protéger
On manque aussi à mon pecoso
Le Chino l'a fait sergent
Et ils l'ont enterré équipé comme le voulait le vieux
La cinq point onze, casquette et tout en noir
Là, ça jouait El Rescate
Son corrido, aussi celle de l'amour éternel
Et c'est ainsi qu'ils ont dit adieu au Phoenix