El Sermón de Mi Mujer
Los Dotores de la Carranga
Le Sermon de Ma Femme
Et à profiter avec les Dotores
Une nuit j'ai engueulé ma vieille et je lui ai dit ma chérie
Pourquoi on ne règle pas cette situation ?
J'en ai ras le bol de tes jérémiades et tes discours
Si ça chauffe trop, tu pars ou je m'en vais
Mais elle, sans m'écouter, est restée enragée
Et n'a pas voulu me prêter attention
Elle se baladait de gauche à droite toute en furie
Et d'une voix tremblante, elle m'a balancé ce sermon
Écoute-la, écoute-la
Et elle m'a dit que j'étais un salaud, que j'étais un tyran
Que j'étais un sans-gêne, que je buvais comme un trou
Que j'étais un coureur, le plus éhonté
Que j'étais un mauvais mari, un vrai goujat
Que je donnais tout à la belle, et que c'était du luxe
Alors que pour elle, même pas un petit marché
Que si je lui filais quelque chose, c'était le plus ordinaire
Et que je ne l'emmenais nulle part en promenade
Mais comment oses-tu, ma chérie, dire de telles choses ?
Si rien n'est vrai
Je ne nie pas que je bois mes verres
Mais je suis un saint et partout où je vais
Ce qui se passe, c'est que ma chérie voudrait
Que je ne sorte que pour bosser
Et que je lui file tous mes salaires
Et que je ne mette même pas un sou dans mon portefeuille
Et ainsi tu délires ma vie, et ainsi tu délires, mon amour
Et ainsi tu délires ma vie, et ainsi tu délires, mon amour
Et ainsi tu délires ma chérie, parce que ce plaisir, je ne te le donne pas
Et ainsi tu délires ma chérie, parce que ce plaisir, je ne te le donne pas
Fabio rincón, profite-en
Et elle m'a dit qu'est-ce qui s'est passé
Avec cet amour que je lui avais juré
Que je n'étais qu'un bon à rien
Comme les nids d'une volière
Qu'au début et avant de nous marier
J'étais un petit ange
Et avec le temps, je suis devenu un diable
Et qu'elle allait couper tous les services
Et elle m'a dit que les sous que je prenais
Tous se perdaient
Dans les bars et les boîtes de nuit de la ville
Et que je rentrais à l'aube
Tout défoncé et tout puant
Et sentant la pisse et avant de vouloir lui foutre une claque
Mais comment oses-tu, ma chérie, dire de telles choses ?
Si rien n'est vrai
Je ne nie pas que je bois mes verres
Mais je suis un saint et partout où je vais
Ce qui se passe, c'est que ma chérie voudrait
Que je ne sorte que pour bosser
Et que je lui file tous mes salaires
Et que je ne mette même pas un sou dans mon portefeuille
Et ainsi tu délires ma vie, et ainsi tu délires, mon amour
Et ainsi tu délires ma vie, et ainsi tu délires, mon amour
Et ainsi tu délires ma chérie, parce que ce plaisir, je ne te le donne pas
Et ainsi tu délires ma chérie, parce que ce plaisir, je ne te le donne pas
Et ainsi tu délires ma vie, et ainsi tu délires, mon amour
Et ainsi tu délires ma vie, et ainsi tu délires, mon amour
Et ainsi tu délires ma chérie, parce que ce plaisir, je ne te le donne pas
Et ainsi tu délires ma chérie, parce que ce plaisir, je ne te le donne pas