El Despertador (part. Manuel Turizo)

J'ai entendu le réveil
La réalité m'est revenue
Tant de fois tu as dit : Je m'en vais
Je pensais que ça ne deviendrait jamais vrai

Ma reine, je suis toujours là, en deuil pour toi
Et ce que je ressens, comment je le fige ?
Si je ne suis pas celui qui embrasse tes lèvres, je meurs de jalousie

Même sous le soleil, ce froid que tu m'as laissé ne s'en va pas
Le dénouement de l'histoire que tu ne m'as pas racontée m'empêche de dormir
Même en renaissant, je n'oublie pas qu'on était fait l'un pour l'autre
Il ne reste plus de cœur pour te dire que tu l'as laissé brisé

Ay-ay-ay, ay, amour, ay-ay-ay, ay, amour
Los Ángeles Azules
Et Manuel Turizo

Cet amour reste sans titre
Tu es partie et tu me fais tourner en rond
Relisant encore et encore le même chapitre
Pourquoi te le cacher ? Je sais que, en vérité, t'oublier, je n'y arrive pas

Ça pourrait mal finir, j'ai appelé ton portable
Je t'écrivais pour savoir comment tu allais
Pour dire que t'oublier, je n'y arrive pas
Que cette histoire a besoin de sa moitié sans toi

Ma reine, je suis toujours là, en deuil pour toi
Et ce que je ressens, comment je le fige ?
Si je ne suis pas celui qui embrasse tes lèvres, je meurs de jalousie

Même sous le soleil, ce froid que tu m'as laissé ne s'en va pas
Le dénouement de l'histoire que tu ne m'as pas racontée m'empêche de dormir
Même en renaissant, je n'oublie pas qu'on était fait l'un pour l'autre
Il ne reste plus de cœur pour te dire que tu l'as laissé brisé

Manuel Turizo
Avec Los Ángeles Azules, ma reine
Santé
D'Iztapalapa pour la Colombie
Et de la Colombie pour le Mexique
Cumbia pour le monde