Palomo Del Comalito (La Molienda)

La belle, la beauté de cette terre
Moulin ma, mouline la pâte de maïs
Un miracle, un miracle de ses mains
Amari, éclat jaune que j'ai vu
Dans le sac, dans le sac il porte de l'or
De l'or tendre, de l'or doux de maïs
Dans le sac, dans le sac il porte de l'or
De l'or tendre, de l'or doux de maïs

C'est fini, c'est fini ma souffrance
Il n'y a plus de mal, pas de mal qui dure cent ans
Palomi, Palomita vole et dis-lui que je bois
Que j'embrasse ici ses mains
Palomi, Palomita vole et dis-lui que je bois
Que j'embrasse ici ses mains

Palomi, Palomita chante un miracle
De la pâte de la fumée de ce comal
Toi qui bois, toi qui as bu mes larmes
De grains, de grains, de petits cristaux
Palomi, Palomita chante un miracle
De la pâte de la fumée de ce comal
Toi qui bois, toi qui as bu mes larmes
De grains, de grains, de petits cristaux

Et des miracles, et des miracles de cette terre
Et des femmes qui nourrissent de leurs mains
Celle qui invite, celle qui invite même si elle n'a rien
Et qui se bat pour les choses qui sont vraiment bonnes
Celle qui invite, celle qui invite même si elle n'a rien
Et qui se bat pour les choses qui sont vraiment bonnes

Palomi, Palomita chante un miracle
De la pâte de la fumée de ce comal
Toi qui bois, toi qui as bu mes larmes
De grains, de grains, de petits cristaux
Palomi, Palomita chante un miracle
De la pâte de la fumée de ce comal
Toi qui bois, toi qui as bu mes larmes
De grains, de grains, de petits cristaux
De grains, de grains, de petits cristaux
De grains, de grains, de petits cristaux