FLACO
Hard GZ
FLACO
Ay
Ga–, Ga–
Ay
LACOSTA
LACOSTA
Dis-moi, Toni
Je descends au village, le Megane à deux cents
Je gagne 200, on me prend un pourcentage
Je vis l’instant, toi tu vis d’histoires
Toi tu continues à courir, moi je continue à presser
Ils sont rentrés et pas de salut à la famille
Ils ont grandi entre les coups et l’envie
Flaco, chaque jour il lutte avec ses addictions
Je tue, pour tous ceux qui sont dans mon bateau
Je sors, des phrases du coin comme dans FARIÑA le narco
J’arrive sur l’Avenue et même pas besoin de me garer
Je descends la rue à grands pas et monte le rond-point
Pour voir si les flics ne font pas de rondes
Il est 2h, c’est trop tard pour ces salopes
À cette heure-là, elles sont chez elles avec leur copain
Il me reste encore du temps pour gérer l’histoire
Si le Lca ne me fait pas perdre la mémoire
Temps
LACOSTA (LACOSTA, LACOSTA)
LACOSTA
Temps, ça fait un moment que je ne ressens plus rien
Je me lève comme un mort à l’intérieur
Notre ambition dépasse notre talent
Je serai un corps de plus abandonné dans les fentes
Avec des sacs du Druni pour la weed
Retour à Domaio en rallye
On s’arrête pour des glaçons à la Puri
Et on est partis à la fête de l’Escuri
Chérie, ne m’appelle pas, je n’ai pas de temps pour les conneries
Celui qui n’était pas avec moi, ne voit pas la piscine
Ce sont des maisons en granit des montagnes galiciennes
Ici, viens de bonne humeur et ne touche pas aux couilles
Ay
LACOSTA (LACOSTA, LACOSTA)
Ay
LACOSTA
Je descends au village, le Megane à deux cents
Je gagne 200, on me prend un pourcentage
Je vis l’instant, toi tu vis d’histoires
Toi tu vis d’histoires, toi tu vis d’histoires
Je descends au village, le Megane à deux cents
Je gagne 200, on me prend un pourcentage (déjà, déjà, déjà, déjà)
Je vis l’instant, toi tu vis d’histoires (vraiment)
Toi tu vis d’histoires, toi tu vis d’histoires
Je descends au village, le Megane à deux cents
Je gagne 200, on me prend un pourcentage (ceux de la ria, de la côte)
Je vis l’instant, toi tu vis d’histoires (Toni, dis-le)
Toi tu vis d’histoires, toi tu vis d’histoires