Júlia

7 heures du matin, le soleil sur mon visage
Il m'a appelé à la fenêtre, j'ai vu qu'il n'y avait rien
Qu'est-ce qui pourrait me stopper ? J'ai pris mes valises
Je les ai chargées de rêves

Peu importe combien ils lancent des roses, rien ne se compare
À pouvoir me regarder dans le miroir avec les blessures guéries
Je n'ai pas peur des mensonges ni de ceux qui prennent le temps
De parler de la merde dans mon dos, je vaux bien plus que ça

Toute une vie bam-bam-bam-bam-bam-bam
Je meurs pour le bam-bam-bam-bam-bam-bam
Toute une vie run-run-run-run-run-run
S'ils me tirent, bang-bang-bang-bang-bang-bang

Toute une vie bam-bam-bam-bam-bam-bam
Je meurs pour le bam-bam-bam-bam-bam-bam
Toute une vie run-run-run-run-run-run
S'ils me tirent, bang-bang-bang-bang-bang-bang

Parfois je regrette, l'innocence, l'enfance
La mer de Badalona, où je profitais des pauses
Les jams avec les amis de toujours, les rues quand elles étaient à nous
Quand Sibil·la est née, j'ai le cœur de Barcelone

Je ne veux jamais oublier, ce qui m'a fait grandir, ah-ah-ah-ah
La famille est toujours là
Toujours en avant
Je ne veux jamais partir

Toute une vie bam-bam-bam-bam-bam-bam
Je meurs pour le bam-bam-bam-bam-bam-bam
Toute une vie run-run-run-run-run-run
S'ils me tirent, bang-bang-bang-bang-bang-bang

Toute une vie bam-bam-bam-bam-bam-bam
Je meurs pour le bam-bam-bam-bam-bam-bam
Toute une vie run-run-run-run-run-run
S'ils me tirent, bang-bang-bang-bang-bang-bang

Bam-bam-bam-bam-bam-bam
Bam-bam-bam-bam-bam-bam
Bam-bam-bam-bam-bam-bam
Bam-bam-bam-bam-bam-bam

Bam-bam-bam-bam-bam-bam
Bam-bam-bam-bam-bam-bam
Bam-bam-bam-bam-bam-bam
Bam-bam-bam-bam-bam-bam