Cantaré
Lia Kali
Je chanterai
Lia Kali
Lia
Tu as acheté les billets il y a longtemps
Je ne sais toujours pas où on va, ça m'est égal
Tu as toujours respecté tous mes peurs
Apportant la paix dans cette guerre qui me fatigue
Tu m'as pris dans tes bras chaque nuit de misère
Tu n'as jamais demandé ce que j'avais à te donner
Tu m'as embrassée là où personne n'a su le faire
Tu as enlevé les couches que je portais pour le reste
Et tu me rappelles que je ne serai jamais, jamais seule
Depuis que tu m'as trouvée, ce monde ne me, ne me noie plus
Vive le don de l'art, là où le monde pleure
Les rues me semblent beaucoup plus belles maintenant (je chanterai, je chanterai, je chanterai)
Et je chanterai jusqu'à ce que je meure
Je m'approcherai de ton oreille avec ma voix la plus douce
Tu as parlé de m'emmener aux étoiles
Laisse-moi te rapprocher d'elles
Et je chanterai jusqu'à ce que ça ne fasse plus mal
Je m'approcherai de ton oreille avec ma voix la plus douce
Tu as parlé de m'emmener aux étoiles
Laisse-moi te rapprocher d'elles
Volez là où le silence ne peut pas nous trouver
Qui vient pour nous éloigner de tout ce qu'on a fait
Dansons jusqu'à ce qu'ils se lassent de faire passer les heures
Que la peur des hauteurs ne peut pas atteindre les aurores
Des épines que, peut-être, tu ne pourras pas m'enlever
Des épées que, parfois, je traduis en art
Je vais les utiliser pour rendre ça plus agréable
Que le monde sache que, si tu n'es pas là, je meurs
Ils sont pressés, et ils le transmettent par défaut
Allons lentement, qu'ils aillent se faire foutre, il y a encore du temps
Ici en haut, le monde me semble beaucoup plus
Beaucoup plus à nous
Et je chanterai jusqu'à ce que je meure
Je m'approcherai de ton oreille avec ma voix la plus douce
Tu as parlé de m'emmener aux étoiles
Laisse-moi te rapprocher d'elles
Et je chanterai jusqu'à ce que ça ne fasse plus mal
Je m'approcherai de ton oreille avec ma voix la plus douce
Tu as parlé de m'emmener aux étoiles
Laisse-moi te rapprocher d'elles
Eh-eh, oh-oh, oh-oh
Eh-eh, oh-oh, oh-oh
Vers les étoi-i-i-i-i-les