A.E.K. -Ko Veteranoak
Kortatu
A.E.K. - Les vétérans
Salut Bixente ! Nous voilà ici, toi droit et moi bien planqué.
Mensonge dit où je fous, moi qui étais avant au même endroit.
Mélange, bordel, lunettes et mélange.
Amezketarra, tirri-tarra, mange des châtaignes et balance les déchets.
Des mots plus jolis que des vérités. Les rumeurs sont belles, les actes sont bruts.
Dire c'est facile, faire c'est compliqué. Pour les fous, dit à l'hermine : "noir de chez noir".
Pas de tête, je veux un béret. La vérité est un joli caprice.
Tu prendras les coups. Moi, le patron ou alors je casse les tronches.
A.e.k.-ko vétéranoak.
Salut Bixente ! Nous voilà ici, toi droit et moi bien planqué.
L'ennemi de l'enfer. Jésus ! Il est là au même endroit.
Depuis des années, un béret sur la tête. Croire, c'est à moitié pourri.
Les gros poissons mangent le petit. Merde ! Il n'a pas de légende.
Ton plus grand ennemi, c'est d'abord ta tête.
Fais dodo, sinon tu vas morfler. Une belle bande, une bande de flemmards.
On doit y aller, faut y aller. Oncle Félix, l'antenne de Drabasa.
Dis un mot, et il sera dit. C'est nous qui avons fait ça !
A.e.k.-ko vétéranoak.
"Aujourd'hui les forgerons ont quitté le boulot, nous venons tous dans la rue"
Les chansons d'Oskorri, "drogues a.e.k.n" et la vision de Kaxiano.
Putiña, tremblement, ouais, c'est pas le bon coup...
"On mettra le feu à notre fabriquant, et à toutes les maisons du patron".
A.e.k.-ko vétéranoak.