DPM (De Pxta Madre)

Tu m'as habitué
À ce que le café du matin soit toujours amer
À ce que les jours de pluie soient interminables
Tu transformais en noir tout ce qui était blanc

Tu m'as habitué
À discuter pour des conneries qui n'importaient pas
Que même si j'avais raison, je te la donnais quand même
À ce que les roses ne soient que des épines qui s'enfoncent

Et maintenant je danse (je danse)
Je souris (je souris)
Je siffle
Personne ne me casse les couilles

On m'a augmenté le salaire
Je chante sous la douche
Il n'y a ni automne ni hiver
C'est le printemps toute l'année

Je salue les voisins
Il n'y a plus de chiens qui aboient
Depuis que tu es parti
Tout va de mieux en mieux

Comme ça va, ça va, ça va
Depuis que tu es parti
Comme ça va, ça va, ça va
Depuis que tu es parti

Le téléphone sonne et ne s'arrête pas
Aujourd'hui j'ai plein de plans pour le week-end
Les amis qui étaient partis, reviennent
Fermant chaque blessure, ouvrant une bière

Le miroir me dit : Belle !
Tu es à ta meilleure période
Allez, aime-toi, secoue-toi
Le mauvais c'est juste un TBT

Et maintenant je danse (je danse)
Oh, je souris (je souris)
Je siffle
Personne ne me casse les couilles

On m'a augmenté le salaire
Je chante sous la douche
Il n'y a ni automne ni hiver
C'est le printemps toute l'année

Je salue les voisins
Toutes les portes s'ouvrent
Depuis que tu es parti
Tout va de mieux en mieux

Comme ça va, ça va, ça va
Depuis que tu es parti
Comme ça va, ça va, ça va
Depuis que tu es parti