Nació Mi Poesia
Jorge Oñate
Ma poésie est née
Comme les matins dans mon village
Brûlants, purs et majestueux
Mes vers voyageurs et libres comme le vent
Tel un astre filant du ciel, dans la belle nuit
Car le folklore de mon Valledupar
Où l'amour naît dans mille cœurs
S'est éternisé dans l'âme du César
Dans la joie de mille accordéons
Il n'y a plus de petites maisons en terre
La vallée s'illumine de plus en plus
On ne vend plus d'arepas, de gâteaux
De meringues, de chiricana et de douceurs
Mais le folklore perdure
Comme l'araouaco dans la montagne
Comme le fleuve César en beauté
Avec ses eaux pures
Quelles belles mélodies
Que compose l'homme sans hâte
Et tous ses amis murmurent
Comme ma terre est belle et grande
Oh ma Morenita, je t'invite au festival de ma terre
Et que tu ressentes les notes d'un accordéon
Et que tu comprennes l'immensité de l'âme de celui qui chante
De ce troubadour en sérénade révélant son amour
Les enfants du village n'attendent pas de brises
Qui élèvent leur fragile cerf-volant au vent
Aujourd'hui, ils attendent juste ce moment heureux
Que leurs parents leur permettent de faire la fête
Il n'y a plus de petites maisons en terre
La vallée s'illumine de plus en plus
On ne vend plus d'arepas, de gâteaux, de meringues
De chiricana et de douceurs
Amour de mes amours, toi qui es l'hirondelle errante
Cesse d'être l'âme vagabonde et écoute mes chansons
Viens dans ma terre, ma terre glorieuse d'accordéons
Région laborieuse et pleine de mille dons, c'est sûr que tu resterais ici
Ma poésie est née
Dans ma terre
Ma poésie est née
Dans ma terre
Ma poésie est née
Dans ma terre
Ma poésie est née