Nômade IV (part. Yago Oproprio e Zarastruta)

Allô, allô, qui c'est ? C'est moi, tu sais
T'as laissé ta culotte dans ma douche
C'était fait exprès, je le sais
C'est un poison
Je me suis accroché
Il reste du temps pour se souvenir
Comme t'es chaude à l'intérieur
Ton corps devient mon temple

Ta fenêtre
Quand ta bouche se colle
À poil
Putain
Ce qui éclaire, c'est juste la lune
Notre
Mon malucaporraloca.com
Laisse-moi conduire ce bon porno
Cette bouteille bloque la porte

Être fou ça t'effraie pas
Drogue pour anesthésier
Et le sexe, ça n'a pas de raison
Juste l'envie de sauter
J'ai appelé pour te rappeler
Tu peux passer me chercher
Juste une excuse pour te voir
Tu vas devoir me pardonner

Notre flow c'est des discussions et des conneries
Je sais que tu sais bien mes vérités
Quand je te croise l'après-midi
Tu sais déjà, tu sais
T'es au courant des malices de

Ai, ai, ai, ai, ai
Je perds la notion du temps, où ça va ?
Quatre heures, je lis tes haïkus
Sept heures, tu m'embrasses et tu t'en vas
(Oh bye bye)

Ai, ai, ai, ai, ai
Je perds la notion du temps, où ça va ?
Quatre heures, je lis tes haïkus
Sept heures, tu m'embrasses et tu t'en vas
(Oh bye bye)

Pendant que j'allume un Camel
Elle a dit qu'elle veut le mien
Mon briquet pour allumer son joint
Écoutant un Badu
Ça a touché mon côté faible
Et la nuit continue ainsi
C'est tout si désordonné
C'est que j'étais sans réseau

Pendant que j'allume un Camel
Elle a dit qu'elle veut le mien
Mon briquet pour allumer son joint
Écoutant un Badu
Ça a touché mon côté faible
Et la nuit continue ainsi
C'est tout si désordonné
C'est que j'étais sans réseau

J'ai brûlé des pneus en venant te voir
J'ai dépensé ma salive pour te faire comprendre
J'ai brûlé des neurones pour élaborer
Le plan parfait qui m'emmènerait jusqu'à toi

Ma étoile filante
Regard et air innocent
Esprit, cœur blindé
Pour la proposition indécente
Celle qu'on ressent
Soudain, la pupille dilatée
Comme toujours, ce qui semble
Je l'ai vu comme si je ne voulais rien

Laissez-moi naviguer dans tes rêves
Pilote de bord pendant que je compose
Du tiroir de ma poitrine, je sors mes tons
Dans ma tête, je crée un monde et de lui, mes sons

Sur tes courbes, j'aime passer doucement
Ton épice aiguise mon palais
Le goût de toi qui sort de ma paume
Appelle-moi vélo pour me faire pédaler

Notre flow c'est des discussions et des conneries
Je sais que tu sais bien mes vérités
Quand je te croise l'après-midi
Tu sais déjà, tu sais
T'es au courant des malices de

Ai, ai, ai, ai, ai
Je perds la notion du temps, où ça va ?
Quatre heures, je lis tes haïkus
Sept heures, tu m'embrasses et tu t'en vas
(Oh bye bye)

Ai, ai, ai, ai, ai
Je perds la notion du temps, où ça va ?
Quatre heures, je lis tes haïkus
Sept heures, tu m'embrasses et tu t'en vas
(Oh bye bye)