Mi alma en pleno
Iván Villazón
Mon âme à nu
Je n'ai jamais pensé pouvoir donner mon âme à nu
Que l'amour serait pour moi toujours si casual
J'ai toujours été le jardinier infâme qui s'en foutait
De déshabiller la plus belle rose sans raison
C'était peut-être l'innocence de ton regard d'enfant
Qui avec des fils de douce miel un jour m'a enroulé
Tu es devenue ma cage, prisonnier de ton regard
De la façon dont tu parles, c'est moi
Il n'y a pas de marée, ni mauvaise, ni bonne, sans voilier ou direction
Qu'est-ce que tu m'as fait
Qu'as-tu pu faire
Comme c'est beau d'aimer, ma petite chérie
Peu importe à quel point ça chauffe
Je la vois et voilà
Je ne sais pas ce que tu me feras, belle jambe
Juste toi, ma brune, je te dis
Que je t'aime, ma petite complice
Continue à te comporter comme ça
Que tu ne changes pas, que Dieu le veuille
Regarde, tu ne vois pas les cadrans du soleil
N'essaie jamais de tirer du sucre de la mer
Continue à te comporter comme ça
Que tu ne changes pas, que Dieu le veuille
Le canari a déjà changé de plumage
D'or si beau
Et il est fidèle, pur héliotrope
Ton blanc céleste
Une croisière est partie emportant un mal blessé
Ce lutin qui faisait que je me comportais mal
Il y a deux jours, je crois que je me suis réveillé
J'ai rêvé de toi
Mille carrosses arrivaient là où tu étais
Avec un chargement d'affection
Le cocher, c'était moi-même
Et toi, une demoiselle angélique
Quel miracle as-tu fait avec moi, ma dame
Vierge du pilier
Qu'est-ce que tu m'as fait
Qu'as-tu pu faire
Comme c'est beau d'aimer, ma petite chérie
Peu importe à quel point ça chauffe
Je la vois et voilà
Je ne sais pas ce que tu me feras, belle jambe
Juste toi, ma brune, je te dis
Que je t'aime, ma petite complice
Continue à te comporter comme ça
Que tu ne changes pas, que Dieu le veuille
Regarde, tu ne vois pas les cadrans du soleil
N'essaie jamais de tirer du sucre de la mer
Continue à te comporter comme ça
Que tu ne changes pas, que Dieu le veuille