Maringá
Inezita Barroso
100%
Maringá
C'était dans un élan que la cabocla Maringá
Devenait la migrante qui faisait le plus parler
Et avec elle est venu quelqu'un qui a supplié
Pour qu'elle n'oublie jamais un caboclo qui est resté
Maringá, Maringá
Depuis que tu es partie
Tout ici est devenu si triste
Que je me mets à imaginer
Maringá, Maringá
Pour qu'il y ait du bonheur
Il faut que la nostalgie
Aille frapper ailleurs
Maringá, Maringá
Reviens ici dans mon pays
Pour que de nouveau le cœur
D'un caboclo se repose
Autrefois, une joie sans pareille
Dominait ce peuple de la ville de Pombal
Mais la sécheresse est arrivée, toute la pluie s'est évaporée
Il ne reste alors que les larmes de mes yeux quand je pleure