Guajira

Guajira, le son t'appelle à danser, à profiter
Guajira, le son t'appelle à danser, à profiter

Tout ce que je dis, c'est beaucoup, c'est peu
Prêt pour la guerre, complètement fou
Des gars qui m'appellent, pour faire un feat
Camarade, même pas un regard, tire la buela
Quoi, jamais ils n'ont marché avec moi
Je le prouve et personne n'est témoin
Si tu veux, frère, vas-y
Mais je te préviens de la mort, tu es en danger

J'ai le sourire qui fait bouger la foule
Le son qui fait vibrer la place
La salsa avec du trap, c'est la classe
Je ne connais pas le canapé de ma maison

Tout a commencé quand j'ai entendu
Vivão e vivendo, ouest, sud, est ou nord
Et jusqu'à aujourd'hui, tes paroles, frère
M'ont appris et sont le reflet de ma détermination

À 12 ans, je faisais des poèmes de génie
Fierté du nord, exemple, ingéniosité
Intellect comme un petit alighiere
Finesse dans chaque vers, toujours mon miroir

Rien ne l'arrête, tout peut être possible
Architecte grandiose d'un rêve plus sublime, que

Veni, vidi, vici, être un noble comme Léonard de Vinci
Sur le beat, un hitmaker aussi grand que Paulo Leminski
La bonne musique enchante et l'âme se déhanche, déhanche
Déhanche, déhanche, déhanche, la fille se déhanche tant qu'il y a du son, elle se déhanche

Architecturant mon flow, neuf beats où tout a commencé
Chaque note, chaque vers que j'ai écrit, vish, comment n'ai-je jamais abandonné ?

Boom shakalakala, clic clac, clic
Si la guajira t'attrape, elle te tue, elle te tire et tu disparais de la carte
Tais-toi et ne doute pas, camarade

Cherchant des hits, chaque vers dans mes flips, continue, continue, continue, continue
J'ai continué à pleurer dans mes flips
Depuis que je me comportais mal avec mes kits, je travaillais déjà et le naio faisait mes clips

La bonne musique enchante et l'âme se déhanche, déhanche
La bonne musique enchante et l'âme se déhanche, déhanche
Guajira, le son t'appelle à danser, à profiter
Guajira, le son t'appelle à danser, à profiter