Popurrí (part. Chuy Lizárraga y Banda La Fugitiva)
Grupo Firme
Popurrí (feat. Chuy Lizárraga et Banda La Fugitiva)
Ferme-moi les portes au nez
Passe-moi avec un autre devant
Crie-moi que non avec le regard
Pour voir si j'arrête de t'aimer
Dis-moi encore que tu ne m'aimes pas
Pour que ça soit bien clair pour moi
Pour voir si sur tous les murs
J'arrête d'écrire que j'ai besoin de toi
Je le sais déjà
Que même si je pleure, que je demande et que je supplie
Tu ne reviendras pas, je le sais déjà
Mais mon cœur, comme un fou
Je lui fais comprendre
Je le sais déjà
Que même si tu ne m'aimes pas, je te garderai toujours en mémoire
Regarde-moi
Dis-moi que même si je te demande, que je pleure pour toi
Que je te supplie, que je t'implore, tu ne reviendras pas
Je le sais déjà
Que même si je pleure, que je demande et que je supplie
Tu ne reviendras pas, je le sais déjà
Mais mon cœur, comme un fou
Je lui fais comprendre
Je le sais déjà
Que même si tu ne m'aimes pas, je te garderai toujours en mémoire
Regarde-moi
Dis-moi que même si je te demande, que je pleure pour toi
Que je te supplie et que je t'implore, tu ne reviendras pas
Pour frimer, à mes amis j'ai raconté
Que dans l'amour aucune peine ne me tue
Que pour leur prouver, j'ai oublié tes baisers
Et quelques verres de tequila m'ont suffi
Je leur ai dit que j'ai trouvé un autre amour
Et que dans ses bras j'ai commencé à t'oublier
Que je te déteste depuis le jour de ta trahison
Et qu'il y a des moments où j'ai même souhaité ta mort
Entre nous
Je veux que tu saches la vérité
Je ne t'ai pas oublié
Là dans ma triste solitude
J'ai eu envie de crier
De courir et de demander
Ce qu'il est devenu de ta vie
Entre nous
Je te garderai toujours en mémoire
Et aujourd'hui que tu n'es plus à mes côtés
Il ne reste plus qu'à avouer
Que je ne peux plus supporter
Que je déteste sans détester
Parce que je respire par la blessure
Et oh, Martín !
Il ne fait aucun doute qu'on chante aussi de la douleur
Quand pleurer n'est pas possible
Entre nous
Je veux que tu saches la vérité
Je ne t'ai pas oublié
Là dans ma triste solitude
J'ai eu envie de crier
De courir et de demander
Ce qu'il est devenu de ta vie
Entre nous, je te garderai toujours en mémoire
Et aujourd'hui que tu n'es plus à mes côtés
Il ne reste plus qu'à avouer
Que je ne peux plus supporter
Que je déteste sans détester
Parce que je respire par la blessure