Putas Drogas (part. Porta)
Fondo Flamenco
Putains Drogues (feat. Porta)
Ah, et à quoi tu pensais
Tu n'étais qu'un fait
Et à quoi tu pensais
Mon corps étendu sur le sol au matin
J'ai fini vaincu, tout ce que j'ai perdu à cause d'être
Un idiot et prendre ce que je ne devrais pas
Car celui qui invite n'est pas ton ami, s'il ne peut pas le voir
Je regarde mon reflet dans le miroir
Attendant qu'il me parle
Le visage du mal, un regard amer
Pèse sur mes épaules
Le poids d'une mort innocente
Et d'être le coupable, et moi, qu'est-ce que ça fait
Chacun est responsable des folies qu'il commet
Chacun est responsable de savoir où il met les pieds
Et ce qu'il consomme
Parce que ça tue
Jusqu'à ce que le corps ne tienne plus et te batte et explose
Si ce n'est pas Dieu qui descend et m'explique
Qui, qui, des signes de souffrance et de douleur
Marquaient toute sa peau, mais maintenant
Il est libre, il n'aura plus à marcher parmi nous
Et affronter cette agonie insupportable
Jour après jour, mort-vivant
Au moins lui, il n'a pas à vivre
Sachant que le monde est un mensonge
Je ne crois rien
Il n'y a pas de vent favorable
Pour celui qui ne sait même pas où il va
Alors il n'a pas eu d'issue
Il a cherché la voie facile
S'il n'avait pas, il se mettait de tout
Comme un imbécile et ça l'a tué
À l'intérieur de moi, j'entends sa voix à chaque instant
Je sens, je sens, je sens
Qu'elle me tourmente même après la mort
Et il a sauté sans but précis
Il a vendu son âme pour un demi-gramme
Il a accepté le pacte
Et il n'y avait pas de retour en arrière, frère
La drogue a gagné
C'est arrivé, c'est arrivé, sa fin comme un accro
Ma mère m'a dit un jour
Celui qui te propose ça n'est pas ton ami
Il t'ouvre les portes de l'enfer
De la mort, il montre le chemin
Tu ne t'en rendais même pas compte
Que tu détruisais ta vie
Tu n'as pas pensé à ceux qui t'aiment
Tu ne pensais même pas à ta famille
Il disait que c'était ton fidèle ami
Qu'entre vent et marée
Il se battrait pour toi
Maintenant tu sais ce qu'est l'hypocrisie
Pure convenance
C'était son amitié fausse
Avec la main sur le cœur
Je regarde le ciel
Ne te sens pas coupable de ce que tu as fait
Qui, moi ?
Ce jour-là, je n'ai jamais su
Que c'était le premier
Je ne crois pas que je mentirais en disant
Que j'étais sincère et que j'ai rencontré une nuit
Froide de janvier et où j'ai renversé
L'ignorance que j'avais
À peine il était 10 heures
Et ma pensée était que
Mon monde me dévorait
Avec soin, des nerfs et sous zéro
Je me suis rendu compte que je ne sais pas où j'étais
Avec malice, fruit du sud de l'inculture
Tu sens le portefeuille
Et ça produit de la schizophrénie
Et que frisson après frisson, tu ne seras jamais serein
Et le goût amer de perdre ta copine
Viens
On ne pense pas à distance
Sache
Comme un flexin, avance
Que
Tout ça, c'est une jungle et
Que ça ne m'a pas fait
Être plus, et tout ça par ignorance
Un connu, c'est bien moins que ça
Un pote, c'est le processus pour devenir ton ami
Commence à l'offrir
Commence à l'aimer
Tu l'aimes avec son vice et ça devient excessif
Tout ça pour l'argent
Pour lui, c'est la priorité
Et dans le sort, il a profité de tout
Je n'ai pas pu comprendre
Il est inondé parce qu'il a dit que
On se reverra en enfer
Ma mère m'a dit un jour
Que celui qui te propose ça n'est pas ton ami
Il t'ouvre les portes de l'enfer
De la mort, il montre le chemin
Tu ne t'en rendais même pas compte
Que tu détruisais ta vie
Tu n'as pas pensé à ceux qui t'aiment
Tu ne pensais même pas à ta famille
Il disait que tu contrôlais tout
Mais on t'a donné un coup
Et il n'y aura plus de retour en arrière
Et ta grand-mère est déjà en route vers le ciel
Ton corps repose
Pour t'être oublié
Avec la main sur le cœur
Je regarde le ciel
Ne te sens pas coupable de ce que tu as fait
Ah, et à quoi tu pensais
Tu n'étais qu'un fait
Et à quoi tu pensais