Fantasmas
Fito & Fitipaldis
Fantômes
Je n'arrêtais pas d'écrire
Sans savoir ce que j'écrivais
Chaque nuit que j'essaie
Le jour se remet à se lever
Et toi, tu te moques toujours de moi
Pour toi, c'est toujours avantageux
Tu as le défaut et l'atout
De ta conscience fragile
Je ne veux pas penser
Je ne veux pas souffrir
Le doute et la peur que ça fait
De devoir continuer
Je veux être heureux
Juste parce qu'aujourd'hui c'est aujourd'hui
Pour tout ce que j'ai été
Pour tout ce que je ne suis plus
Pour une fin heureuse
Aussi pour ce qui s'est brisé
Parce que je rentre chez moi
Même si ça me traîne
Vers un pauvre cœur
Des histoires si interminables
Des histoires pleines de mensonges
Des histoires qui, sans que tu t'en rendes compte
Se terminent tout de suite
J'ai juste un vice et tu le sais
Je ne connais pas de mauvaises compagnies
Ni le casino de Torrelodones
Ni le portier qui a viré Sabina
Je ne veux pas penser
Je ne veux pas souffrir
Le doute et la peur que ça fait
De devoir écrire
Je veux être heureux
Juste parce qu'aujourd'hui c'est aujourd'hui
Pour tout ce que j'ai été
Pour tout ce que je ne suis plus
Pour une fin heureuse
Aussi pour ce qui s'est brisé
Parce que je rentre chez moi
Même si ça me traîne
Vers un pauvre cœur
Parce que je rentre chez moi
Même si ça me traîne
Vers un vieux cœur
Il y a un fantôme qui s'assoit ici à mes côtés
Pour écouter ce que personne n'écoute
Quand tu es au mauvais endroit
Tu peux voir ce que tout le monde cache
Il y a un fantôme qui s'assoit ici à mes côtés
Pour écouter ce que personne n'écoute
Quand tu es au mauvais endroit
Tu peux voir ce que tout le monde cache