Benim Adam Benim Babam
Fatih Kısaparmak
Mon père, mon homme
Cet homme, c'est mon père
Avec son béret à huit pans
Sur son épaule, son sac, hey
Cet homme, c'est mon père
Avec son béret à huit pans
Sur son épaule, son sac, hey, hey, hey, hey
Dans sa poche, pas un sou, fume des Bafra
Sa douleur est dans son cœur
Il a élevé six enfants avec un salaire de travailleur
Cet homme, c'est mon père, hey
Ne pleure pas, mon père
Ne pleure pas, pauvre père
Les jours sombres passent, père, hey
Celui qui ferme une porte
Peut toujours l'ouvrir, père
Ne pleure pas, mon père, hey
Ne pleure pas, mon père, le malheureux
Ne pleure pas, pauvre père
Les jours sombres passent, père, hey
Celui qui ferme une porte
Peut toujours l'ouvrir, père
Dieu est grand, père, hey
Cet homme, c'est mon père
Ses soucis sont plus grands que les montagnes
Sans espoir, le dos courbé, hey
Cet homme, c'est mon père
Ses soucis sont plus grands que les montagnes
Sans espoir, le dos courbé, hey, hey, hey, hey, hey
Il n'a jamais ri un seul jour
Il ne sait pas ce qu'est le repos
Il n'a pas essuyé ses larmes
Pour un morceau de pain
Il ne s'est jamais incliné devant personne
Cet homme, c'est mon père, hey, hey
Ne pleure pas, mon père
Ne pleure pas, pauvre père
Les jours sombres passent, père, hey
Ne pleure pas, mon père
Ne pleure pas, pauvre père
Les jours sombres passent, père, hey
Ne pleure pas, mon père
Ne pleure pas, pauvre père
Les jours sombres passent, père, hey
Ne pleure pas, mon père
Ne pleure pas, pauvre père
Les jours sombres passent, père, hey
Mon père était un homme courageux
Avec un cœur comme un brasier
Il avait un cœur tendre
Tout au long de ma vie, je l'ai admiré
Il était dévoué
Peut-être qu'il n'avait pas un arbre planté
Mais lui-même
Vivait avec honneur
C'était un grand chêne
Sur mes épaules, ses ailes
Il était comme la montagne sur laquelle je m'appuyais
Je suis le fils de mon père
Je suis de la tête aux pieds, d'Anatolie.