El Blade
Estopa
El Blade
Je l'ai vu sortir du blade avec une sale tête
Il allait à la place Tarrega, pour quoi faire ? Pour quoi faire ?
Pour quoi ça sert, pour continuer, à prendre, à fumer
À tousser, à angoisser, à mourir et à renaître
Eh bien voilà, rien à faire
Il s'est fait une caisse sans permis, un permis pour quoi faire
Et il est parti pour Vendrell, Vendrell, Vendrell. Viens, je te raconte
Si tu te laisses distraire, il se barre au pont
Et là, il n'y a plus personne pour le retrouver
Personne pour le retrouver
Je l'ai vu entrer dans l'axiome, attendant dans la file
Avec une tête de pas rigoler, très peu de blagues, à l'intérieur
Tiens, prends ça, à Cornellà où les coups pleuvent
Tu sais toujours où ça tape et tu les prends
Mais ici, à Cornellà
Je ne veux plus savoir parce que ça m'est égal un jour de plus
Moi ici, ça brûle, ça brûle, mais toi, prends, prends
Tu sais toujours où ça tape et tu les prends
Tu sais toujours où ça tape et tu les prends
Mais ici, à Cornellà
Tu n'as pas pu choisir, entrer ou sortir
Tu as pu survivre, vivre, vivre
Mais dans le parc, ils m'appellent
Et à Cornellà, qui ne pleure pas ne tète pas
Et à Cornellà, qui ne pleure pas ne tète pas
Mais ici, à Cornellà
Je ne veux plus savoir parce que ça m'est égal un jour de plus
Moi ici, ça brûle, ça brûle, mais toi, prends, prends
Tu sais toujours où ça tape et tu les prends
Tu sais toujours où ça tape et tu les prends
Mais ici, à Cornellà
Je ne veux plus savoir parce que ça m'est égal un jour de plus
Moi ici, ça brûle, ça brûle, mais toi, prends, prends
Tu sais toujours où ça tape et tu les prends
Tu sais toujours où ça tape et tu les prends
Mais ici, à Cornellà
Et si les dieux savaient qu'un gars de quartier les surpasse
L'attente éternelle
Parce que dans mon quartier, c'est toujours le printemps
Parce que c'est dimanche
Et tu es à sec
Si tu te laisses distraire, des bêtises
Regarde, demandant un coup de main aux druides
Du parc
Si tu te crois plus malin
Tu ne captes rien
Si tu es trop bête
Tu t'es fait avoir
(T'es fait avoir)
T'es fait avoir
Je ne veux plus savoir parce que ça m'est égal un jour de plus
Moi ici, ça brûle, ça brûle, mais toi, prends, prends
Tu sais toujours où ça tape et tu les prends
Tu sais toujours où ça tape et tu les prends
Mais ici, à Cornellà
Je ne veux plus savoir parce que ça m'est égal un jour de plus
Moi ici, ça brûle, ça brûle, mais toi, prends, prends
Tu sais toujours où ça tape et tu les prends
Tu sais toujours où ça tape et tu les prends
Mais ici, à Cornellà