Triste Verano (part. Anuel AA)

(L'argent, ouais)
(Oh-oh)

Voilà le putain de triste été
Un gros joint roulé, il fait dix grammes
Aujourd'hui, on se traite comme des étrangers, brr

Putain, je dois encore
Un été sans toi, tu me laisses ici
De juin à août
Mal de tête parce que tu ne reviens pas

Un autre été sans toi, je déteste la Saint-Valentin
T'es froide comme Boston
Demandant à ma tête : à qui tu fous le bec ?

Ne me regarde pas mal
On n'a pas passé tant de temps ensemble
Mais tu ne sais pas ce que tu représentes pour moi
T'as un autre ? On s'est séparés il n'y a pas longtemps
Mami, ça ne me va pas du tout
En été, avec le soleil dehors
Mais quand même, je sens tout ce vide

Depuis que t'es pas là, depuis que t'es pas là
Pour ne pas penser à toi, je prends de la drogue et je fais la sieste
J'appelle et j'appelle comme un con et tu ne réponds pas
Tu veux rien savoir de l'amour, t'es en mode protestation
Avant, tout te plaisait, maintenant, tout t'énerve

Et c'est l'été, mais je me sens en hiver
Arrête tes conneries, bébé, on va se déchirer
Je suis sans ma drogue, toute la nuit, malade
Je casse mes vices jusqu'à ce qu'on puisse se revoir

Voilà le putain de triste été
Un gros joint roulé, il fait dix grammes
Aujourd'hui, on se traite comme des étrangers

Putain, je dois encore
Un été sans toi, tu me laisses ici
De juin à août
Mal de tête parce que tu ne reviens pas

Un autre été sans toi, je déteste la Saint-Valentin
T'es froide comme Boston
Demandant à ma tête : à qui tu fous le bec ?

Si la chanson est triste, je n'enregistre même plus
Je l'ai fait pour Luian qui est en train de faire chier et pour Eladio
Toutes les chansons à la radio me rappellent toi
Baisant dans le backstage du stade à ton concert
Je reste défoncé pour ne pas penser à toi tout le temps
Faisant semblant que tu n'as pas causé de dégâts, je fais la tête de connard que j'ai

Reviens, le fou a besoin de toi
Envoie-moi un message quand tu es seule
Reviens, donne-moi une nuit bien chaude
Pour toujours, tu seras ma petite

Rappelle-toi que le vrai ne s'oublie pas
Envoie-moi un message quand tu seras sexy
Reviens, donne-moi une nuit bien chaude
Pour toujours, ma petite

Voilà le putain de triste été
Un gros joint roulé, il fait dix grammes
Aujourd'hui, on se traite comme des étrangers

Putain, je dois encore
Un été sans toi, tu me laisses ici
De juin à août
Mal de tête parce que tu ne reviens pas

Un autre été sans toi, je déteste la Saint-Valentin
T'es froide comme Boston
Demandant à ma tête : à qui tu fous le bec ?

(Écoute ça)
(L'argent, ouais)