Aquí Me Tienes
El Arrebato
Te Voilà
Te voilà
À embrasser tes blessures
Aussi bien à toi qu'à moi
Car ça me fait aussi mal
Te voilà
À chercher ce regard, ce mot
Qui même un peu
Pourra te consoler
Te voilà
Comme un chien gardien
Toujours à tes côtés, à tes côtés
Jamais devant
Te voilà
À sourire en pensant aux idiots
Qui ont voulu nous séparer
Et on sera ensemble
Toujours, toujours
Alors essuie tes larmes
Et accroche-toi bien à mon bras
N'aie pas peur des vents
Car moi j'effraie les démons
Que tes douleurs sont les miennes
Que ta joie est ma joie
Je pleurerai quand tu pleures
Je sourirai quand tu souris
Te voilà
À chercher des printemps à coudre dans ton oreiller
Avec quoi tu rêves toujours de fleurs
Te voilà
Le temps passe, passe
Et je suis toujours là avec toi
Toujours à l'affût de toi
Toujours, toujours
Alors essuie ces larmes
Et accroche-toi fort à mon bras
N'aie pas peur des vents
Car moi j'effraie les démons
Que tes douleurs sont les miennes
Que ta joie est ma joie
Je pleurerai quand tu pleures
Et je sourirai quand tu souris
Viens et réfugie-toi avec moi
Dans les murs de cette étreinte
Et tu verras comme ce froid
S'évanouit peu à peu
Alors essuie ces larmes
Et accroche-toi fort à mon bras
Et n'aie pas peur des vents
Car moi j'effraie les démons
Que tes douleurs sont les miennes
Que ta joie est ma joie
Je pleurerai quand tu pleures
Et je sourirai quand tu souris
Maintenant, essuie ces larmes
Et accroche-toi bien à mon bras
N'aie pas peur des vents
Car moi j'effraie les démons