Apaga El Cel (part. The Colombians, Zetazeta y Deejohend)
Doble Porción
Éteins le ciel (feat. The Colombians, Zetazeta et Deejohend)
Un coup et le roi est en échec
C'est Lucho Suárez, Messi et Ney en train de boire du maté
Ils parlent de rap, ici on est l'âme mater
Peu importe combien ils prient, je ne pense pas qu'ils nous égalent
En partie, à cause de nous, la vision a changé
On a fait de l'art, aujourd'hui tout le monde a sa chanson
Ils ont commencé mardi, un autre caprice les a pris
Quand ils sauront ce qu'ils font, la musique les a laissés
Maman, donne-moi ce que tu veux, je ne veux pas avoir raison
Sors ton assaisonnement, rends-moi fou, emmène-moi dans les nuages
Suis la lumière jusqu'à la fin du tunnel
Et quand le soleil sort, prends un Uber pour rentrer
Elle a dit : Allons dans la montagne, là où le signal n'arrive pas
Où je me perds, il ne manque que le bois
Donne-moi un moment, maman, éteins le portable
Allume un autre et envole-toi, entre tes jambes
Allons dans la montagne où le signal n'arrive pas
Où je me perds, il ne manque que le bois
Donne-moi un moment, maman, éteins le portable
Allume un autre et envole-toi
Je frotte mes mains comme la mouche qui regarde l'assiette
J'ai le respect dans les rues, à l'opposé du facteur
Sous effets à cause de défauts, scandale pour le biato
Je les ai déjà vus avec des comptes bien remplis, les yeux cassés
Eh, tous les shows, les potes et les fellations en slowmo'
C'était pour faire des flows
Ce que je pense de moi, ça m'importe autant qu'un Grammy
Si je n'ai pas de Tommy, je brille quand même, maman, soyons colocataires
Sainte marimba pleine de grâce, merci
Manque d'amnésie, plongé dans la salsa
Avec assez de faim pour savoir que ça ne se négocie pas
Elle a dit : Allons dans la montagne, là où le signal n'arrive pas
Où je me perds, il ne manque que le bois
Donne-moi un moment, maman, éteins le portable
Allume un autre et envole-toi, entre tes jambes
Allons dans la montagne où le signal n'arrive pas
Où je me perds, il ne manque que le bois
Donne-moi un moment, maman, éteins le portable
Allume un autre et envole-toi
Maman, je me sens comme un fils de pute, je ne m'arrête plus pour prier
Yeux écarlates, la fumée me fait pleurer
Bébé, si ça appelle, ne réponds pas, je ne veux pas parler
Car je fume en tournant au même endroit
Oh, je vais inventer ce qu'il faut
Pour sortir de la prison qui encapsule là-dehors
Pour les remplir d'illusions avec la merde qu'ils désirent
Pour acheter le bonheur quand il manque des pièces
Ça me tue, cœur de fer
La vie frappe de face avec une crosse
Et déchaîne le sang pour l'argent
Pour la paix, il y a des guerres et je sens qu'on me l'arrache
Les filles, les motos sans plaques
Je viens du coin où ils jouaient et gardaient les paquets
Les rats se défoncent les narines
L'école, les valises et les gamins les plus rappeurs
Les filles, les motos sans plaques
Je viens du coin où ils jouaient et gardaient les paquets
Les rats se défoncent les narines
L'école, les valises et les gamins les plus rappeurs