PELOTUDA
DILLOM
PELOTUDA
Mon fric devient débile, j'ai de l'argent, espèce de con
J'ai pris sept Rivo', je crois que j'ai besoin d'aide
En Argentine, moi et Los Ramone' à NYC, ah
La vie est triste, et je suis désolé, mais c'est comme ça
Mon fric devient débile, j'ai de l'argent, espèce de con (espèce de con)
J'ai pris sept Rivo', je crois que j'ai besoin d'aide
En Argentine, moi et Los Ramone' à NYC, ah (NYC)
La vie est triste, et je suis désolé, mais c'est comme ça
Mon fric bouge tout seul, comme un poltergeist
Sur scène, je deviens con comme Frankenstein (uah)
Je suis blondinet et mignon, comme Seven Kayne
Et le ventre à cause de la Heineken
Tout le monde veut une part de mon gâteau
Je sors et on me traite comme si j'étais un Rolling Stone
On arrive chez toi, ding-ding-dong
Mes baskets coûtent un Dom Pérignon—
Un pour le fric, deux pour le show
Trois pour mes soucis qui sont prêts pour l'action
Tout ce que je veux, ce sont des sneakers et des armes
De l'argent et du pouvoir, et une meuf avec un septum
Une autre ville nous attend, alors allons-y, hmm
J'ai des connexions, comme du redstone
Il y a des rappeurs qui veulent me dans leur Death Note, ah
Pas question que je me fasse avoir, je dois rester discret, hmm
La meuf ressemble à J. Lo
Mon fric s'est allongé, bitch, je l'appelle Jake Long (fric)
Le Dillom est une tuerie, comme de la Play-Doh, ah
On les laisse en plan, comme dans Playboy
Mon fric devient débile, j'ai de l'argent, espèce de con
J'ai pris sept Rivo', je crois que j'ai besoin d'aide
En Argentine, moi et Los Ramone' à NYC
La vie est triste, et je suis désolé, mais c'est comme ça
Mon fric devient débile, j'ai de l'argent, espèce de con
J'ai pris sept Rivo', je crois que j'ai besoin d'aide
En Argentine, moi et Los Ramone' à NYC
La vie est triste, et je suis désolé, mais c'est comme ça
Mon fric devient débile, j'ai de l'argent, espèce de con
J'ai pris sept Rivo', je crois que j'ai besoin d'aide
En Argentine, moi et Los Ramone' à NYC
La vie est triste, et je suis désolé, mais c'est comme ça
Ah, ah
Post mortem
Post mortem
Ah
Je n'ai pas de rêves, j'ai des plans
Je n'ai pas d'ennemis, j'ai des fans
On me cite et j'apparais, comme Bloody Mary
Toute ma vie, je la poursuis, comme Tom et Jerry
La vengeance est douce, comme un flan avec de la crème
Et on dirait que je paie une condamnation
Parce que pour le mauvais, j'ai un aimant
Et le bon met toujours du temps, ou n'arrive jamais
Peut-être que parfois je suis en crise
Et que ma psyché est ruinée
Mais s'il faut agir, je fais du fisting
Quand la tension est palpable, comme en lifting
J'ai quelques gosses, je vais leur faire une baby shower
Pour nous, toute la journée c'est happy hour
Avant, personne ne venait à mon anniv'
Maintenant, tout le monde veut venir à mon anniv'
Quand je parle, personne ne m'interrompt
J'aime ça, parce que ça fait que mon monde s'effondre
Ça fait quelques années que je vis dans l'incertitude, ah
J'espère que ça ne deviendra pas une habitude