Jorge Maravilha
Chico Buarque
Jorge Merveille
Y a rien comme un temps après un coup dur
Pour mon cœur
Et ça vaut pas le coup de rester, juste rester
À pleurer, à râler, jusqu'à quand, non, non
Et comme disait déjà Jorge Merveille
Plein de raison
Mieux vaut une fille dans la main
Que deux parents qui volent
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Elle aime le tango, le dengo
Le mengo, le dimanche et les potins
Elle me prend et me picote, me pince, grignote
Me risque et m'enlace
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Y a rien comme un jour après l'autre
Pour mon cœur
Et ça vaut pas le coup de rester, juste rester
À pleurer, à râler jusqu'à quand, non, non, non
Et comme disait déjà Jorge Merveille
Plein de raison
Mieux vaut une fille dans la main que deux parents qui survolent
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Elle aime le tango, le dengo
Le mengo, le dimanche et les potins
Elle me prend et me picote, me pince, grignote
Me risque et m'enlace
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime
Tu m'aimes pas, mais ta fille m'aime