Que Negro!
La Castañeda
Que Noir !
Le matin me surprend raide,
Je suis juste inquiet pour ça.
Je l'ai en tête,
Je te garde à l'œil,
Tellement chaud.
Je vais te chercher,
Et je vois dans la rue,
Que le monde se dégrade,
Avec du vice et de la rage.
C'est sur les écrans,
C'est dans les magazines,
Et sur leurs visages.
Que noir ! Que noir !
Je l'ai, cette pensée.
Que noir c'est ! Que noir c'est !
Que noir c'est ! Que noir c'est !
Que noir c'est ! Que noir c'est !
Que noir c'est ! Que noir c'est !
Que noir ! Que noir !
Tu l'as, cette pensée.
Cet après-midi, je ne veux pas te quitter,
Si je te vois juste, le désir me brûle.
Je voudrais te lécher,
Je voudrais te manger,
Et te détruire.
La nuit je ne peux pas,
Dormir sans réconfort,
Et je veux te toucher,
Pour te réveiller.
Mais tu me surpasses,
Avec tous mes désirs.
Insatiable.
Que noir ! Que noir !
Tu l'as, cette pensée.
Que noir c'est ! Que noir c'est !
Que noir c'est ! Que noir c'est !
Que noir c'est ! Que noir c'est !
Que noir c'est ! Que noir c'est !
Que noir ! Que noir !
Je l'ai, cette pensée.
Que noir c'est ! Que noir c'est !
Que noir c'est ! Que noir c'est !
Que noir c'est ! Que noir c'est !
Que noir c'est ! Que noir c'est !