El Bayo Cara Blanca
Los Cadetes de Linares
Le Bayo Cara Blanche
Pepito avait un cheval, c'était lui qui le montait
C'était un bayo cara blanche, de sept coudées de haut
Oh quel bel animal, il ne manquait que de parler
José voulait ce cheval, il l'adorait comme un dieu
Tous les jours très tôt, il le baignait et le sellait
Et le bayo, tout content, se dressait et hennissait
De “la arena” à Terán, il n'a jamais perdu de course
Oh quel bel animal, il courait comme une bête,
De Provenir à San Juan, il laissait des gens dans la misère
Mais le destin est cruel, et personne ne peut y échapper
Et il a voulu que ce coursier, un jour, perde la vue
Il ne courut plus jamais, ni sur le plat ni sur la piste
Pour le soulager de sa souffrance, José lui a tiré trois balles
C'est ainsi qu'il a dû mourir, lui qui dans la vie était un éclair
Voilà la fin de l'histoire, de Pepito et de son cheval