Kynokephale Freuden im Sumpfleben
Bethlehem
Freuden kynokephales dans la vie des marais
Un chien de garde mord dans son oreille
qu'il avait jadis à moitié dévorée
Cracha joyeusement le voile de deuil
à contrecœur sous la contrainte
Ne gaspille jamais ce qui fut précieux
la blasphème me chatouille avec joie
C'est pourquoi je témoigne de la bête
je pique des épines dans la chair encore crue
C'est pourquoi je témoigne de la bête
je pique des épines dans la chair encore crue
Un chien chante étrangement et trop fort,
ne veut plus danser sur les tombes
Tu pensais jadis que j'étais né
mais je nage maintenant dans une mer salée
J'ai perdu seul mon désir
sur lequel je ne me tiens plus que rarement
Un chien chante étrangement et trop fort,
mord dans la peau de cuir
Sache donc que rien ne reste
dans l'ancien rêve de vie
Coupe-toi, si le tas reste
arrache des morceaux du bord