Fickselbomber Panzerplauze
Bethlehem
Fickselbomber Panzerplauze
Brume, brume, contre le mur
Crache de vieux restes dans la main
On ne veut pas allaiter des chevreaux
Ne pas se regarder dans un serment mort
Mademoiselle, mademoiselle, ça sent tout doucement
La moisissure et de cette façon
Elle s'empare d'une vieille chasse
Brûle des épis morts dans la phrase
Attrape la chaise avec des os morts
Enfonce un acier tranchant dans un bois sombre
Parcourt le corps avec des sens blafards
Tu ne pourras pas échapper au claquement du fouet
Maintenant, éloigne-toi du soleil pâle
Oublie les chaînes de ton plaisir
Enfonce-toi dans la boue de la vieille chatte
En hurlant, fermenté avec du vomi froid
Brume, brume, enchevêtrée
Ne louera jamais notre plaisir aujourd'hui
S'éteint au besoin lors d'une chute
Surtout, il n'arrive jamais à manquer
Rouille maudite, au besoin dans la graine
Décompose la cendre, oh comme c'est fin
Le désir grisonne, si chaud et rebondissant
Lèche la saucisse de foie, encore crue et dodue