Beso Robado
Beret
Baiser Volé
On ne sait jamais le prix d'un baiser volé
Et à la fin, le nôtre nous a coûté si cher
Je n'avais rien et j'ai payé le compte
Et maintenant je vois que je te dois trop
J'ai demandé des forces pour avancer
Ça n'a pas fini en janvier et on me l'a enlevé
J'avais le billet pour ce dont on rêvait
Et maintenant je monte dans le train, mais il est en panne
Comment on va faire pour ne pas se voir en hiver ?
Toi qui me couvrais chaque nuit quand je dors
Tu es tout ce que je dis et c'est ce que je suis en silence
Car si jamais je t'oublie, je te dois encore ces baisers
Si proches et si loin, comme décembre et janvier
Comme la mer si tu vois le ciel
Toi attendant sur le quai, et moi te regardant de loin
Toi me retirant mes peurs, et moi disant que je ne peux pas
Je ne saurai jamais comment c'est de vivre avec toi
Tu es partie en sachant ce que c'était de mourir avec moi
On n'avait pas le temps et on jurait des siècles
On n'avait pas d'encre et on écrivait des livres
Je ne suis jamais arrivé à être ce que tu as toujours voulu
Tu m'as aimé plus que ce qu'on n'a jamais eu
Pour ne pas être si seul, tu es partie avec moi
Toi qui voulais m'aimer et jamais tu ne m'as voulu
Comment on va faire pour ne pas se voir en hiver ?
Toi qui me couvrais chaque nuit quand je dors
Tu es tout ce que je dis et c'est ce que je suis en silence
Car si jamais je t'oublie, je te dois encore ces baisers
Si proches et si loin, comme décembre et janvier
Comme la mer si tu vois le ciel
Toi attendant sur le quai, et moi te regardant de loin
Toi me retirant mes peurs, et moi disant que je ne peux pas
Ramenant des fantômes, changeant tes souvenirs
Ce serait la seule façon de revivre ça
Toi qui n'as pas d'âme et moi qui te prête la mienne
Tu utilises juste tes armes pour blesser notre lien
On ne sait jamais le prix d'un baiser volé
Et à la fin, le nôtre nous a coûté si cher
Je n'avais rien et j'ai payé le compte
Et maintenant je vois que je te dois trop
Comment on va faire pour ne pas se voir en hiver ?
Toi qui me couvrais chaque nuit quand je dors
Tu es tout ce que je dis et c'est ce que je suis en silence
Car si jamais je t'oublie, je te dois encore ces baisers
Si proches et si loin, comme décembre et janvier
Comme la mer si tu vois le ciel
Toi attendant sur le quai, et moi te regardant de loin
Toi me retirant mes peurs, et moi disant que je ne peux pas