Erribera

Erribera, Erribera,
la vasteur de tes terres
là où le ciel fait frontière
se limite.

Dans tes terres fertiles
les intentions qui s'y déversent
seront-elles accueillies
par ces douces terres.

Tes vieux châteaux
qui cachent des souvenirs d'antan
parlent dans des soupirs tristes
de leur douleur.

Sur les vieux murs usés
les oiseaux chantent
le sommeil figé des siècles
se dévoile.

Navarre, vieux frère
la première racine de la légende
que nos ancêtres
réalisent ce rêve.