Tu Me Quieres (part. Omega)
Baby Gang
Tu Me Veux (feat. Omega)
Omega (Omega)
Ouais (ouais)
Tu me veux : Où es-tu, mon amour ?
Je suis toujours dans ton cœur
Ces soirs-là, je sors d'une prison
Je retourne dans le quartier, dans la zone
Ça va pas, oh, comme ci, comme ça
Ne tourne pas en rond comme un manège
Les sirènes, eh-eh, les sirènes, eh-eh
Et buenos días, papiers, police
J'ai vingt kilos d'ave Maria
T'as fumé ou bu de l'alcool ? (Non, non), je sens l'odeur de l'intérieur
Quoi de neuf, mami ? Je suis fou, je suis le papi
Je suis sur une moto Ninja Kawasaki
Sur les mains, la maison, connard, vide le coffre-fort
Eh, fils de pute, tu sais pas combien de temps je mets
Je ne fais pas les appels, mon ego (non, non)
M'a valu pas mal de condamnations
Mais je m'en fous de ce que pense ton père, s'il vote pour la Ligue
C'est qu'au fond, il me déteste un peu et il le nie
J'ai tout sous contrôle comme un boss, un patrón
Un dangereux, j'ai la chose dans mon truc
Il le touche, c'est dur, mais c'est un .38 (Pah, pah)
T'es à Milan, tu entends boum, boum, la loi du Kanun
Tu me veux : Où es-tu, mon amour ?
Je suis toujours dans ton cœur
Ces soirs-là, je sors d'une prison
Je retourne dans le quartier, dans la zone
Ça va pas, oh, comme ci, comme ça
Ne tourne pas en rond comme un manège
Les sirènes, eh-eh, les sirènes, eh-eh
Maintenant, eh, je vole de Milan à Saint-Tropez
Le dimanche, un dominicain qui
Est bourré à Loreto tout seul dans la rue Padova, au Nord
C'est Milan, la ville de ceux qui ont de l'argent (Milan)
T'as rien, tu sais déjà quel est le boulot
Tu fais des paquets ou vends de la drogue, c'est la même chose
Je vis la vie avant qu'elle ne soit finie
Un homme se juge par l'argent, par les femmes
Et l'envie fait mal, garçon, j'écris une autre chanson
Dédiée aux infâmes, aux ignorants
Ils m'ont mis dedans, moi, je l'ai mis dans le cul, ah-uh, papi
Maintenant, je retourne dans les populaires
Si je ne suis pas dans une Lambo, je suis dans une Audi ou une Ferrari
Peu de confiance, accords clairs
On m'a appris à m'occuper de mes affaires, pas de celles des autres
Quatre murs, enfermé, quatre degrés
Quand je suis enfermé et que je n'entends plus les tirs dans la rue
Pam, pa-ra-pam, pam-pam, pa-ra-pam, pam-pam, pa-ra-pam
Tu es ma Rosa Abate
Pam, pa-ra-pam, pam-pam, pa-ra-pam, pam-pam
(C'est fini comme cet été)
Pam, pa-ra-pam, pam-pam, pa-ra-pam, pam-pam, pa-ra-pam
Tu es ma Rosa Abate
Pam, pa-ra-pam, pam-pam, pa-ra-pam, pam-pam
(C'est fini comme cet été)
(Mhm, mhm-mhm, mhm-mhm)
(Mhm, mhm-mhm, mhm-mhm)
(Mhm, mhm-mhm, mhm-mhm)
(Mhm, mhm-mhm, mhm-mhm)
(Ouais-eh, ouais-eh, ouais, ouais, ouais)
(Ouais-eh, ouais-eh, ouais, ouais, ouais)
(Oh-oh, oh-oh, oh, oh, oh)
(Oh-oh, oh-oh, oh, oh, oh)
(Ouais-eh, ouais-eh, ouais, ouais, ouais)
(Ouais-eh, ouais-eh, ouais, ouais, ouais)
(Oh-oh, oh-oh, oh, oh, oh)
(Oh-oh, oh-oh)
Tu me veux : Où es-tu, mon amour ?
Je suis toujours dans ton cœur
Ces soirs-là, je sors d'une prison
Je retourne dans le quartier, dans la zone
Ça va pas, oh, comme ci, comme ça
Ne tourne pas en rond comme un manège
Les sirènes, eh-eh, les sirènes, eh-eh