Ay Mi Llanura
Arnulfo Briceño
Ô ma plaine
Chante le llanero en dévorant le chemin
Comme un centaure majestueux
Il croise le jilguero
Ô ma plaine
Enchantement vert où le bleu du ciel
Se confond avec ta terre
Dans l'immense lointain
À l'aube
Le soleil t'embrasse et du marais au morichal
Les hérons fendent l'air
Qui murmure dans les palmiers
Un chant de liberté
Ô ma plaine
Enchantement vert où le bleu du ciel
Se confond avec ta terre
Dans l'immense lointain
À l'aube
Le soleil t'embrasse et du marais au morichal
Les hérons fendent l'air
Qui murmure dans les palmiers
Un chant de liberté
Ô ma plaine
Fine émeraude est ton ciel cristallin
À ta beauté
Chante le llanero en dévorant le chemin
Comme un centaure majestueux
Il croise le jilguero
Ô ma plaine
Des milliers d'étoiles veillent sur tes nuits silencieuses
Comme des broches scintillantes
Dans un manteau de douceur
Tu es silencieuse
Des amants tendres te confient leurs amours
On entend des refrains débordants
Et entre passions ardentes
La rosée embrasse les fleurs
Ô ma plaine
Des milliers d'étoiles veillent sur tes nuits silencieuses
Comme des broches scintillantes
Dans un manteau de douceur
Tu es silencieuse
Des amants tendres te confient leurs amours
On entend des refrains débordants
Et entre passions ardentes
La rosée embrasse les fleurs
Ô ma plaine
La patrie entière se vante de ta noblesse
Avec tes bravoures
Tu as réchauffé l'âme de ceux qui ont tout donné
Pour la voir victorieuse
Digne, grande et souveraine
Grande et souveraine