Ya Lo Sabes
Antonio Orozco
Tu le sais déjà
Comme c'est beau de comprendre
Que je ne peux pas m'imaginer sans ton amour, tu vois,
c'est beau.
Comme c'est beau de comprendre
Que chaque pas que tu feras, moi aussi je le ferai, tu vois,
sans te le demander.
Les silences ne veulent jamais être
Ceux qui gardent tant à perdre,
ce que l'on ne peut pas voir, tu vois,
qu'ils ne veulent pas l'être.
Le destin a peur de savoir
Où le train va s'arrêter,
Où il va tomber.
Tu ne peux pas le voir, tu vois,
qu'il ne laisse pas voir.
Et tu le sais déjà, mon cœur, qu'il n'y a pas d'autres cris que cette voix,
et elle est si forte qu'elle fait même peur à l'air.
Et par l'air, je te donnerai ce qu'il y a de plus difficile à avoir,
la confiance que tu m'as offerte.
Comme c'est difficile de savoir
Comment échapper à chaque nuit où tu n'es pas là.
Comme c'est difficile.
Comme c'est difficile d'avoir
Ce qu'il y a de plus simple et de bien le garder, tu vois,
Tu me l'as aussi appris.
Le début veut toujours être
Celui qui dit comment ça doit être,
Parce qu'il a tant de foi, tu vois,
Le temps va à l'envers.
Il n'y a pas un jour où je ne veuille pas être,
Pas une seconde où je ne veuille pas apprendre,
Pas une minute de plus d'hier, je ne peux pas perdre.
Et tu le sais déjà, mon cœur, il n'y a pas d'autres cris que cette voix,
et elle est si forte qu'elle fait même peur à l'air.
Et par l'air, je te donnerai ce qu'il y a de plus difficile à avoir,
la confiance que tu m'as offerte.
Comme c'est beau de comprendre.
Comme c'est beau de savoir de toi.
Comme c'est beau de comprendre.
Comme c'est beau de savoir de toi, mon amour.