Tots Es Motors
Antònia Font
Tous les moteurs
Je n'y crois toujours pas
Et je suis de nouveau sur un satellite
Qui tourne en ligne droite.
Tu as disparu
Et j'ai perdu ma courbe
Et l'anesthésie, et j'ai pleuré.
J'ai besoin d'un centre de gravité,
J'ai besoin d'un atlas d'hélices
Qui me mène à découvrir et à fermer
Une phonothèque d'écouteurs.
Et que tous les moteurs résonnent
D'impossibles aviateurs,
Qui te mènent à vérifier
Que tes rêves sont africains.
On s'aimait,
On se détruisait mutuellement nos vies,
On s'achevait, on se tenait compagnie,
On se périmait, on se consacrait
Quasi toujours les jours,
On se faisait l'amour, on se régalait.
Je n'y crois toujours pas
Et je suis de nouveau sur un satellite
Qui tourne en ligne droite.
Tu as disparu
Et j'ai perdu ma courbe
Et l'anesthésie, et j'ai pleuré.
Que les arroseurs s'allument,
Qu'ils arrosent tous les coings,
Je ne sais pas s'ils doivent être arrosés,
Parce que je suis plus de la mer.
On s'aimait,
On se détruisait mutuellement nos vies,
On s'achevait, on se tenait compagnie,
On se périmait, on se consacrait
Quasi toujours les jours,
On se faisait l'amour, on se régalait.
Et que tous les moteurs résonnent
D'impossibles aviateurs,
Qui te mènent à vérifier
Que tes rêves sont africains.
On s'aimait,
On se détruisait mutuellement nos vies,
On s'achevait, on se tenait compagnie,
On se périmait, on se consacrait
Quasi toujours les jours,
On se faisait l'amour, on se régalait.
On s'aimait,
On se détruisait mutuellement nos vies,
On s'achevait, on se tenait compagnie,
On se périmait, on se consacrait
Quasi toujours les jours,
On se faisait l'amour, on se régalait.