Abrebrecha
Ali Primera
Ouvre la brèche
Si les côtes se reposent
Pendant que le bâton va et vient
Et qu'avec n'importe quel éclat
On peut tirer la cale
Allez, mon peuple ne se laisse pas faire
Celui qui a été marin
Quand il voit la mer, il soupire
Et celui qui vit dans l'obscurité
Avec beaucoup de lumière, il s'éclaire
Ouvre la brèche, camarade
Car le vent d'eau souffle déjà
Et il faut faire fuir le chien
Avant qu'il ne fasse pipi
Ouvre la brèche, camarade
Car le vent d'eau souffle déjà
Et il faut faire fuir le chien
Avant qu'il ne fasse pipi
Le peuple qui aime les proverbes
Chante avec sa propre prière
Bien qu'un chapelet de peines
Pèse sur son cœur
Et il faut affiner le tir
C'est-à-dire, la visée
Car même s'il dit des grossièretés
Le peuple a des droits
Et ne te fâche pas
Mais c'est la pure vérité
Qu'il n'y a pas de pire insulte
Que cette même société
Que la plus grande grossièreté
C'est cette société qui la dit
Ouvre la brèche, camarade
Car le vent d'eau souffle déjà
Et il faut faire fuir le chien
Avant qu'il ne fasse pipi
Ouvre la brèche, camarade
Car le vent d'eau souffle déjà
Et il faut faire fuir le chien
Avant qu'il ne fasse pipi
Le peuple qui aime les proverbes
Chante avec sa propre prière
Bien qu'un chapelet de peines
Pèse sur son cœur
Et il faut affiner le tir
C'est-à-dire, la visée
Car même s'il dit des grossièretés
Le peuple a des droits
Et ne te fâche pas
Mais c'est la pure vérité
Qu'il n'y a pas de pire insulte
Que cette même société
Que la plus grande grossièreté
C'est cette société qui la dit
Ouvre la brèche, camarade
Car le vent d'eau souffle déjà
Et il faut faire fuir le chien
Avant qu'il ne fasse pipi
Ouvre la brèche, camarade
Car le vent d'eau souffle déjà
Et il faut faire fuir le chien
Avant qu'il ne fasse pipi
Cette Gens !
Qui mettent et enlèvent la Culequera !
Vieille Poule, cette Gens !
Qui mettent et enlèvent la Culequera !