Me Tocó Morir (part. Fuerza Regida)

Je sens qu'il me manque même l'air
De ma bouche, sort du sang
Les balles ont réussi à me blesser
Moment de dire adieu

En repensant à ce que j'ai vécu
Mes parents et mes amis
J'ai traîné, ouais, je ne le nie pas
Gamin, cherchant le fric

Les souvenirs, je les emporte
Plusieurs coups, plusieurs baisers
Sur ma jambe, il y a mon arme
Mais elle manquait de balles

Je laisse ma mère en larmes
Qu'est-ce que j'en sais ? Je ne sais pas jusqu'à quand
Ouvrez un cercueil blanc
Et séchez donc ces pleurs

Ils arrivent par derrière et je ne les ai même pas vus
Ils ne m'ont pas laissé le temps de prévenir
Une pluie de balles, le corps brûlait
Et le destin me marquait mort ici

Même la blindée n'a pas pu résister
Je pensais à ma mère, comme elle allait souffrir
Une pluie de balles, le corps brûlait
Entre Dieu et le diable, j'ai dû mourir

Ah ouais, vieux
Vas-y, carnalito Jesús Ortiz
Salut, mon pote Alfredo
Corridón, vieux
Un autre truc !

Vendredi 13, cauchemar
Comme un conte, ce jour-là
Peu importe les saints que j'invoquais
La mort me souriait

On n'entend que la banda
Sortez, il n'y a pas d'espoir
Faites attention à madame Blanca
Elle vous rattrape si elle vous attrape

Ils arrivent par derrière et je ne les ai même pas vus
Ils ne m'ont pas laissé le temps de prévenir
Une pluie de balles, le corps brûlait
Et le destin me marquait mort ici

Même la blindée n'a pas pu résister
Je pensais à ma mère, comme elle allait souffrir
Une pluie de balles, le corps brûlait
Entre Dieu et le diable, j'ai dû mourir

Haut la mafia de la rue, vieux
Et nous sommes à votre service, mon pote Olivas