Llega Llego Soledad
Alejandro Sanz
La solitude arrive
Il y a à Buenos Aires un coin
Dans un jardin interdit
Un certain Piazzolla, ami d'un
Moineau
Qui lui prête son nid
Pour voir en argent le lever du jour
En or le coucher, de
L'aube
Un regard de femme
Il y a à Buenos Aires je ne sais quoi
Et un poème écrit
Un vers que je me rappelle d'un
Adieu
Et que je lui dédie
À ce personnage que je chante
Il y a tant de tango blessé, ça va pour Gardel
Brûle, brûle, ton nom brûle ma voix
Buenos Aires m'a fait mal
Je pense tant à toi
Dans mes souvenirs tout doux
Mais ça va partir, mais ça va partir, mais ça va partir
Cette sensation
Arrive, arrive solitude
Laisse-moi rêver
Avec ton amer à petites gorgées
Aujourd'hui j'ai le cœur portuaire
Je veux le Buenos Aires qui s'est envolé
D'un miroir froid
D'un aurore gesticulant l'amour
Donnant vie à un livre
De courant rien dans la chaleur
Et dans des ruelles froides
Il y a à Buenos Aires un amour qui était le mien
Il y a à Buenos Aires je ne sais quoi
Et un poème écrit
Un vers que je me rappelle d'un adieu
Et que je lui dédie
À ce personnage que je chante
Tant de tango blessé
Brûle, brûle, ton nom brûle ma voix
Buenos Aires m'a fait mal
Je te porte ici
Dans mes souvenirs tout doux
Mais ça va partir tu verras, mais ça va partir, mais ça va partir
Cette sensation
Arrive, arrive solitude
Laisse-moi rêver
Avec ton amer à petites gorgées
Laisse-moi rêver, laisse-moi rêver
Avec ton amer à petit feu
Brûle, brûle ton nom brûle ma voix
Buenos Aires m'a fait mal
Je pense tant à toi
Mon souvenir tout doux
Mais ça va partir, mais ça va partir, cette sensation
Arrive, arrive solitude
Laisse-moi rêver
Avec ton amer à petites gorgées
Et portuaire le cœur
À tes côtés, à tes côtés
Je sais déjà que je suis fou
Fou, fou