Estabas Ahí
Alejandro Fernández
Tu étais là
Par où tant de fois je suis passé
Quand je t'ai vue, j'ai senti que Dieu me tendait la main
Tu es si simplement belle
Tu es ma lune, ma demoiselle
Tu étais là
Quand la vie s'effondrait autour de moi
Et ton regard caressait mes lèvres
Faisait tomber les barrières de mon cœur
Ne t'éloigne pas, ne pars pas,
Laisse le destin
Nous enlacer l'âme et nous enlever la peur
Comme deux enfants sous une averse
Mais ne pars pas, car je meurs
Tu es ma lune en mer ouverte, mon printemps, ma vérité
Je t'aime
Et tu es toujours là
Dans un coin de mon âme, tu es restée
Démêlant les fantômes du passé
Caressant mes battements, ma désolation
Ne t'éloigne pas, ne pars pas
Laisse le destin
Nous enlacer l'âme et nous enlever la peur
Comme deux enfants sous une averse
Mais ne pars pas, car je meurs
Tu es ma lune en mer ouverte, mon printemps, ma vérité
Je t'aime, je t'aime
Je t'aime.
Tu es ma lune en mer ouverte
Mon printemps, ma vérité
Je t'aime.
Je t'aime.