Jinetes Cromados
 AIRBAG
Cavaliers Chromés
Je me suis réveillé joyeux ce matin, ah
Je dors trois heures par semaine, ah
Aujourd'hui j'ai ma récompense, tu as le ressentiment
D'imaginer une vie que tu n'as pas choisie
Et que sais-tu si tu n'es pas sorti du cocon, oh
Et que sais-tu si tout ce que tu fais c'est du baratin, oh
Plus qu'en parler, il ne reste que ta satisfaction
Enchaîné à une pierre avec mille autres
En parlant trop
Tu les fais s'amuser
Mon cœur est idiot
Il s'illusionne encore
Tu veux un mort mais tu ne veux pas le porter, oh
Tu as peur qu'il y ait du sang sur tes mains, oh
Tu cherches un idiot pour tirer aujourd'hui
Ces imbéciles qui font tourner cette roue
Et le monde tourne et tourne
Les idiots regardent et regardent
Nous sommes sur une autre planète
Où la mystique joue
Et, cette nuit, je ne peux pas me tromper
Et, cette nuit, ma chance ne va pas me lâcher
C'est tout pour moi, c'est tout pour toi
Nous sommes des cavaliers qui font aboyer les chiens
La jalousie tue, ça se voit sur ton visage
Tu attaques avec envie des choses que tu ne comprendras jamais
Je ne veux pas de ton argent ; non, merci, non, plus
Avales tes mots, fais ce que tu veux, sors d'ici, décolle !
Tu n'es rien pour moi
À la fin, tu n'es rien pour moi
À la fin, tu n'es rien pour moi
À la fin, tu n'es rien pour moi